mardi 15 septembre 2015

mardi 15 septembre

second jour de randonnée et je suis réveillé ce matin vers 6h30 par une pluie diluvienne sur la toiture, rien de bien encourageant, surtout que j'ai 34 kms à faire aujourd'hui!!

Mais avant le programme du jour, je vais revenir un peu sur la soirée d'hier. En déambulant dans les rues de Gien, à la recherche d'un endroit pour ravir mon palais, je suis tombé en arret sur cette pancarte


je me suis interrogé un moment, n'étant pas certain que la première lettre est bien un A.....renseignement pris, la maison qui est signalée ici est une des rares de la ville à ne pas avoir été détruite pendant la seconde guerre mondiale et elle date du 15 éme siécle, appartenant à des bourgeois portant le meme patronyme que moi!!!

amusé par cette anecdote qui ne m'a pas nourri, j'ai poursuivi mon chemin et j'ai pu admirer le soleil sur la Loire




Donc ce matin, vers 9 heures, il pleuvait encore et mon regard n'étant pas attiré par la grisaille du ciel a saisi au vol cet étrange platane creux


ou encore cette barque à l'abandon.....


après quelques kms, le chemin s'est éloigné du fleuve et, ce, jusqu'en milieu d'après midi car il fallait éviter cet édifice



qu'à cela ne tienne, cela m'aura permis d'admirer ce magnifique tapis de fleurs

et de m'immiscer dans une zone lacustre


de confier mon fidèle sac à dos aux bons soins de ce calvaire afin qu'il ne me fasse pas trop souffrir....

et de traverser une zone giboyeuse


ce chevreuil est resté un moment à m'observer et quelques centaines de mètres plus loin, ce furent deux cerfs que je n'ai pas réussi à faire rentrer dans la boite...

Mais j'imagine bien que d'autres doivent s'occuper de leur cas!!!!

Vers 12 h 30, mes jambes criant grace et estimant avoir parcouru la moitié du cjemin, une chataigneraie m'a abrité d'éventuelles gouttes d'eau mais les bogues tombées à terre ne m'ont pas procuré le confort souhaitable pour une petite sieste.

en repartant, je n'en croyais pas mes yeux...ce poteau électrique ou téléphonique au milieu d'un étang

La petite ville de Dampierre en Burly a d'autres richesses que sa centrale nucléaire, ce chateau entouré de remparts

quelques kilomètres encore et ce sont les retrouvailles avec la Loire sans pouvoir encore oublier la centrale


En fait le chemin meme s'il en suit le cours ne permet pas beaucoup de l'observer ou qu'à de trop rares moments mais quels moments puisque ces canards sont regroupés sur les bancs de sable



Il est 17 heures et St Père sur Loire se profile moins loin que l'horizon..




































































































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